Brel dépouillé de son fatras , pour mes copains Angèle et Daniel
1) Le paradis (le plat pays)
Devant
ce très beau corps juste chaussé de santiag
Et des vagues promesses pour obtenir une
bague
Elle
va s’accrocher au truc qui dépasse
Et
qui ne s’ra jamais en position basse
Avec
infiniment de plaisirs à venir
Avec ce type sans veste, écoutez-la jouir
Haletante
elle va et vient
Avec des tas de râles quand il
retire son pagne
Et son noir pénis comme mât de cocagne
Dur comme de la pierre, malgré son grand âge
Avec des cris d'amour pour unique ramage
Et des mains qui se glissent pour ouvrir son peignoir
Et le doigt qui s'enfonce comme un suppositoire
Elle ne se poile pu bien
Avec Daniel t’y vas, et t’en auras plein l’cul
Avec Daniel tu s’ras, pleine d’humidité
Avec Daniel au lit, il t’empale t’es fendue
Avec Daniel si gris qu'il faut te retourner
Avec ce gland si fort qui vient l'écarteler
Avec ce gland si fort écoutez-la craquer
Ce beau taillis qui est le sien.
(ou Cette chatte tapie, je la sens bien
ou Ce doigt brandi qui est le mien
ou introvertie je te sens bien
ou Ce paradis je l’sens qui vient
Ou Dans ce grand lit, j’te sens qui vient)
Avec au pied du lit, lui léchant l'escargot
La belle Angèle abonde et lui crie Go Go Go
Quand les coups de son membre provoque une fumée
Quand la fente est fumante et tremble sous ses « Yeah »
Quand le gland est va jouir, quand le gland est doré
Quand le gland est moussu, écoutez-le chanter
Ce beau taillis qui est le tien.
Notice commerciale :
avec un minimum de données biographiques, je vous adapte n'importe quel texte connu pour le rendre plus adéquat pour la communion du gamin, ou l'enterrement de belle maman! envoyez-moi un mail.
D'après le pull-ovaire rouge