les responsables des transports européens nous racontent de jolies histoirs
Mieux que le nuage tchernobylien qui s'arretait à la frontière, le nuage Eyjakull-atoire va quand se décider à prendre en compte les contraintes économiques des caompagnies aériennes.
Les penseurs du monde profitent de la crise pour se poser les questions de fond:
est-il raisonnable d'envoyer toute l'équipe du fou du roi en Grèce, et d'avoir une émission privée de tout son staff, à la merci du moindre volcan!
Comment doit-on dédommager tous les touristes qui partent aux quatres coins du monde, avec un budget ric et rac et qui se retouvent en carafe dans les aéroports du monde entier, avec leur famille suspendues aux nouvelles à la télé?
Comment persuader les 99/100ième de la population qui ne prennent jamais l'avion que l'on vit une crise terrible
Qu'il y a des fleurs et des poissons qui vont être périmées dans des hangars d'aviation?
Alors que tous les riverains des aeroports sont fous de joie
et que des dizaines de chefs d'état ont trouvé un super prétexte pour ne pas aller à l'enterrement du populiste polonais complètement réactionnaire qui a donné l'ordre à son pilote de ne pas respecter les ordres de la tour de contrôle et a sacrifié tout un tas de responsables politiques de son pays.